Band de bruits - Noise band
Galerie ARNAUD LEFEBVRE , Paris 06
RYO TAKAHASHI "Rêve sonore" et Marie-France JEAN "Onomatopées"
29 novembre - 22 décembre 2012
Cette exposition est composée d’un rêve qui est divisé en deux parts, le premier
semestre et le second semestre.
Ce rêve ne provient pas de quelqu’un d’identifié. Il n’y a pas de sens particulier
à lui donner.
Ce rêve a pris naissance dans une usine de textile dans le sud ouest de la France.
Aujourd’hui c’est un endroit où les machines ne fonctionnent plus,
elles sont exposées aux regards des visiteurs, l’usine est devenue un musée du textile.
Le silence qui entoure les quelques bruits des visiteurs, les explications des guides nous fait songer au tintamarre des machines, au brouhaha et aux déambulations des employés.
La première partie est racontée par un personnage le «Beau père».
Des pièces émettent du bruit. Elles fonctionnent par assemblage, un morceau de cerisier et une tige d’acier tordue.
Elles expriment le son d’un rêve. La vibration de l’acier secoue le morceau de bois.
C’est une rencontre avec l’autre.
La seconde partie est composée de vieux bois et de métaux.
L’artiste a trouvé un jour une petite pièce de fer, celle d’une machine et il l’a nommé «La Belle».
Elle est le silence au milieu du bruit.
Le rouleau de graphisme et de taches acoustiques de Marie-France Jean devient le guide sonore avec lequel la voix joue de complicité. C’est un jeu de piste pour retrouver ou découvrir un temps et un espace éphémère mais vivant.
Comme un collage, les sons sauvages, en marge du langage codé soulignent le rythme,la série, la variation, le hasard.
Ils sont en relation ambivalente avec le bruit des machines de l’usine de tissage de Labastide Rouairoux.
Ryo Takahashi
Galerie ARNAUD LEFEBVRE , Paris 06
RYO TAKAHASHI "Rêve sonore" et Marie-France JEAN "Onomatopées"
29 novembre - 22 décembre 2012
Cette exposition est composée d’un rêve qui est divisé en deux parts, le premier
semestre et le second semestre.
Ce rêve ne provient pas de quelqu’un d’identifié. Il n’y a pas de sens particulier
à lui donner.
Ce rêve a pris naissance dans une usine de textile dans le sud ouest de la France.
Aujourd’hui c’est un endroit où les machines ne fonctionnent plus,
elles sont exposées aux regards des visiteurs, l’usine est devenue un musée du textile.
Le silence qui entoure les quelques bruits des visiteurs, les explications des guides nous fait songer au tintamarre des machines, au brouhaha et aux déambulations des employés.
La première partie est racontée par un personnage le «Beau père».
Des pièces émettent du bruit. Elles fonctionnent par assemblage, un morceau de cerisier et une tige d’acier tordue.
Elles expriment le son d’un rêve. La vibration de l’acier secoue le morceau de bois.
C’est une rencontre avec l’autre.
La seconde partie est composée de vieux bois et de métaux.
L’artiste a trouvé un jour une petite pièce de fer, celle d’une machine et il l’a nommé «La Belle».
Elle est le silence au milieu du bruit.
Le rouleau de graphisme et de taches acoustiques de Marie-France Jean devient le guide sonore avec lequel la voix joue de complicité. C’est un jeu de piste pour retrouver ou découvrir un temps et un espace éphémère mais vivant.
Comme un collage, les sons sauvages, en marge du langage codé soulignent le rythme,la série, la variation, le hasard.
Ils sont en relation ambivalente avec le bruit des machines de l’usine de tissage de Labastide Rouairoux.
Ryo Takahashi
